lundi 10 juin 2013

Grand Jeu 6ème Edition, 1er Tour : Une madeleine auditive

Une madeleine auditive
A chaque fois que vous entendez cette musique, elle vous relie à une histoire, un événement, un sentiment très personnel. Alors racontez !

Robbie Williams "Escapology" (2002)
ou "Une grande histoire d'amour sous les tropiques"

On s'était regardé, on s'était plu...

C'est à la frontière entre la Thaïlande et le Cambodge que l'improbable, l'impensable devait se produire, qu'un jeune et sémillant français en vacances culturelles et festives en Asie bouddhiste fit la connaissance d'une charmante japonaise, elle-même en similaire villégiature. Ils se revirent à Angkor et sympathisèrent plus avant, aucun ne tentant quoi que ce fut de peur de s'être trompé et d'effaroucher l'autre. Puis à Bangkok où quelques frôlements et regards complices auraient pu concrétiser l'affaire si, décidément, nous n'avions pas eu là affaire à deux grands timides... Et le français repartit vers sa mère patrie, non sans avoir (comme une idée derrière la tête) dûment consignés les coordonnés téléphoniques et cybernétiques de la belle...

On aurait pu en rester là mais, nouveau millénaire et technologies de communication aidant, ces deux êtres, désormais séparés par plus de 10.000 kilomètres (lui en grise région parisienne, elle est polluée capitale thaie), conversèrent assidument par écran interposé (sur une très courte période de temps), apprirent, ce faisant, à mieux se connaître, à évaluer leur compatibilité... A se donner envie ! Frustrant ? Oui, da !  Mais aussi, surtout !, ce qui permit à cette historiette de sortir de son cocon pour se muer en joli papillon :

[Pour des raisons évidentes de distanciation dans le temps l'exactitude de cette conversation dépend de la précision cérébrale de l'auteur de ce billet. Elle est adaptée de l'anglais, qui plus est.]
 
ELLE : Tu sais quoi, je quitte Bangkok dans une semaine, je pars à Bali. :-))
 
LUI : J'aimerais bien aller à Bali... :-(
 
ELLE : C'est magnifique Bali. Faudra que j'y travaille un peu (NdR: import-export) mais j'y vais surtout pour le plaisir.
 
LUI : Tu en as de la chance.
 
ELLE : Tu pourrais peut-être m'y rejoindre... Ca me ferait vraiment plaisir !
En plus ce sera mon anniversaire !
 
LUI : Ha ! Si je pouvais... Mais... Attends ! Ne bouge pas !
 
(il cherche le tarif aérien correspondant, vérifie les dates, il est fébrile rien qu'à l'idée...)
 
LUI : Sous réserve que je puisse prendre mes congés... Je crois que je peux.
 
ELLE : Tu peux vraiment ? :-))
 
LUI : J'espère ! :-)))
 
ELLE : Excellente nouvelle ! (NdR: "petit smiley qui saute" à insérer ici)

Le lendemain, il put. 10 jours plus tard IL atterrissait à l'Aéroport international de Denpasar où ELLE l'attendait... La suite ? Carré blanc ! Et ? Ephémère mais cela importe peu...

Mais, donc, il y l'album, Escapology... Dont j'aurais presque fini par oublier de parler, tiens !, et qui, suite à cette "histoire" reste à jamais connecté avec une certaine sensualité tropicale au souvenir extrêmement agréable et toujours vivace. C'est d'ailleurs un bon album où Robbie Williams se veut plus ambitieux que sur ses précédents opus et y réussit sans trop s'éloigner de sa zone de confort. Un album avec d'excellentes chanson (Love Somebody.... Rhâââââ Lovely !), des arrangements supra bien foutus et des textes loin d'être cons, et même souvent drôle et autocritiques. Un album qui triomphera en Europe mais échouera aux USA... Bon, évidemment, les circonstances dans lesquelles je l'ai découvert et écouté ledit album en influencent ma perception, l'augmente mais, tout de même, c'est du bien bel ouvrage et du mainstream de qualité supérieure... Un peu comme un Elton John au meilleur de sa forme, ce qui n'est pas rien, en déplaise aux mauvais chagrins...

----THE END----

 
1. How Peculiar 3:13
2. Feel 4:22
3. Something Beautiful 4:48
4. Monsoon 3:46
5. Sexed Up 4:19
6. Love Somebody 4:10
7. Revolution (featuring Rose Stone) 5:44
8. Handsome Man 3:54
9. Come Undone 4:38
10. Me and My Monkey 7:12
11. Song 3 3:48
12. Hot Fudge 4:05
13. Cursed 4:01
14. Nan's Song 3:52
15. How Peculiar (Reprise) 2:08
16. I Tried Love 3:38


alternate take :
Trust "Répression" (1980)
ou "Les grimaces devant la glace"

C'est un machin d'enfance, une occurrence où un gamin de neuf ans se prend à la fois pour Nono et Bernie parce qu'il s'identifie très fort à ce qu'il entend... Bordel, Trust, quoi... Répression ! Un album que j'ai tellement écouté, tellement usé jusqu'à la corde que chaque tintement de cymbale, chaque respiration de gorge, chaque microseconde de chaque solo, chaque virgule de chaque texte m'est intimement familier. En plus, c'est, comme on dit, un putain d'album ! Le mètre-étalon de l'excellence hard-rockante francophone, rien de moins !

Et pourtant Trust n'est pas exactement un groupe de Hard Rock, certainement pas un groupe de Heavy Metal, en aucun cas un bête groupe de Rock ou un groupuscule Punk... Mais un peu tout ça à la fois ! Elle est là, la force d'une galette sans faiblesse (allez, le batteur aurait pu être meilleur mais ça va, ça le fait), où s'enchaine classique sur classique à commencer, à tout saigneur tout honneur, par le légendaire Antisocial que tout chevelu français qui se respecte a forcément, un jour, éructé à pleins poumons. Mais ce coup de semonce initial n'est pas, loin de là !, le grand et majestueux baobab cachant la maigre savane...

Que nenni ! De la condamnation du régime des Ayatollah arrivés depuis peu au pouvoir en Iran avec les purges et les restrictions liberticides qu'on connait (Monsieur Comédie), de l'antimilitarisme à la lutte des classes "roulés en un" (Saumur), d'un hommage au libertaire gangster ennemi public n°1 des finissantes septantes (Le Mitard, paroles adaptées d'écrits de Jacques Mesrine, mais vous le saviez déjà tous, non ?), à la charge anti-"guru-qui-tue" menée pied au plancher (Les Sectes) c'est un parfait déroulé des forces et de la conviction d'une formation au sommet de son art avec, bien sûr, un Bernard Bonvoisin quasi-syndicaliste dans ses incantations politico-sociales mais aussi, autre partie du binôme quintessentiel, Norbert Krief, brillant guitariste et compositeur. A deux, ces garçons presque comme les autres vont même mettre la France sur la carte mondiale du hard'n'heavy, tournant avec Iron Maiden ou AC/DC (refusant, au passage de suivre AC/DC en tournée aux States sur les conseils "avisés" d'un manager, Bobby Bruno, préférant miser local et massif avec une tournée pharaonique qui coulera presque le groupe ! Belle connerie, quoi.) ou, plus tard, à titre posthume, de se voir doublement repris par un groupe alors particulièrement en vogue, Anthrax, qui sortit même en single de son album State of Euphoria leur reprise... d'Antisocial bien sûr.

Bref, pas le moindre doute, cet album, fondateur pour votre serviteur, est toujours, 33 ans (!) après sa sortie ce qu'il est convenu d'appeler un classique soit un album qui, temps faisant, comme un bon cru, ne fait que se bonifier. Un immanquable, quoi !


1. Antisocial 5:03
2. Monsieur Comédie 3:25
3. Instinct de Mort 3:44
4. Au Nom de la Race 4:10
5. Passe 3:45
6. Fatalité 2:56
7. Saumur 5:45
8. Le Mitard 5:14
9. Sors tes Griffes 3:24
10. Les Sectes 2:45

41 commentaires:

  1. Je prends volontiers le Robbie .. qui quand je l'entends me rappelle mon ainée qui le passait en boucle. Et j'aime bien ce côté Elton et pop anglaise :D

    RépondreSupprimer
  2. Purée c'est bien la première fois que l'on me donne envie d'écouter Robbie en imaginant les images d'In The Mood For Love.... Je crois qu' il me faudra un Trust pour me réveiller demain.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Bon réveil et n'hésite pas à venir dire tout le mal que tu as pensé du Robbie !^_^

      Supprimer
    2. J'ai lu In The Mood For Love... un film culte chez moi. J'adore ce genre d'histoire. Ça garde jeune pendant les vieux jours. Merci Zorno Monsieur! Vais écouter avec plaisir, je ne connaissais pas ces albums.

      Supprimer
    3. Robie j'ai pas terminé... je sais, je sais, c'est pas gentil mais je crois tout de même comprendre que comme la masturbation quand l'amour frappe, on devient sourd aussi. Me reste l'autre. Merci.

      Supprimer
    4. Robbie , quelques très bonnes choses, d'autres qu me rappellent les travers que je n'aime pas dans le rock extra territorial, des recettes, de la grande technique, du boulot et de la réflexion, masi trop "travaillé" lourd et ingeste pour moi, du coup un manque d'âme, de naturel. Allez je me remets Saumur ... ah ça pour la tripe !

      Supprimer
    5. @ La Rouge,
      Non, désolé, c'est tout à fait cohérent dans mes gouts hétéroclites allant de Brassens à Zorn en passant par les Beatles et Bartók. Pas sourd, quoi ! :-P

      @ Sorgual,
      Je comprends ce que tu veux dire pour Robbie, je suis cependant curieux de connaître ton avis sur une composition en particulier : Love Somebody. ^_^

      Supprimer
  3. La surprise! Alors là, je me m'y attendais pas!! Fallait bien une belle histoire pour assumer le Robbie, mais tu nous l'as bien amené. Chapeau.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Tout est vrai même si manquent quelques détails... J'espère que je l'ai bien vendu. ^_^

      Supprimer
  4. Yep pareil, j'ai pas vu v'nir la chose... Bon je crois avoir un disque de lui qui traîne chez nous. Mais c'est Sadaya qui est fautive! Oui je suis une balance....

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est pas bien de balancer. :-/

      Escapology est son meilleur.

      Supprimer
  5. Je reprends aisément le comm' de sorgual...
    Je vais balancer de l'un à l'autre.
    En tout cas belle page souvenirs.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Merci.

      Tu me diras ce que tu as pensé du Robbie, je suis curieux ! ^_^

      Supprimer
    2. Perso, j'adore globalement cet artiste.
      Il y a dans ses chansons un gros bagage de culture américaine, avec de tout. Bien sur je penche à chaque fois qu'un peu de jazz ou de broadway musical apparait, mais pas que.
      Je le fais souvent bosser aux élèves pour les parties d'acct piano, enchaînements d'accords vraiment bien pensés tout en restant simple.
      Un grand artiste pop(ulaire).
      Voilà de bon matin ce que je peux t'en dire...

      Supprimer
    3. Perso, je ne l'ai jamais trouvé aussi bon que sur cet album et en particulier sur Love Somebody, une compo presque gothique et en même temps un peu gospel et très théâtrale... Incroyable !

      Supprimer
  6. Le beau Robbie n'est pas vraiment ma tasse de thé même si je reconnais que c'est du boulot bien fait. Mais forcément avec un tel souvenir attaché au disque la perception est différente.

    C'est une belle madeleine que tu nous livres, bravo.

    Quant au Trust, je l'ai aussi beaucoup écouté à l'époque, avec le volume suffisamment fort pour que ma mère me demande ce que j'écoutais. Ça m'a vite passé et avec le recul je trouve que c'est vraiment de la critique politico-sociale à deux balles, mais encore une fois, une madeleine est une madeleine.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Ben voilà, comme quoi on peut ne pas apprécier mais apprécier le travail (pour Robbie) qui est impeccable.

      Trust, tu es dur, c'est un peu à l'emporte-pièce mais ce n'est que de la chanson, un format ou il n'est pas simple de faire du fond, tu en conviendras.

      Supprimer
  7. Enfin une histoire qui colle avec le decorum que pousse Robbie Williams: Le grand, car je le trouve grand. Il est un roi dans la pop anglaise, il aime regarder l'Amérique (qui le frustre) et tous les codes à la Sinatra: Bad boy d’opérette (?? pas très sympa de ma part et peut-être un peu faux) d'un autre temps? Et il ajoute un sens de la mélodoie et de l'orchestration de luxe. J'ai vu sa vidéo où il nous fait le crooner crâneur. J'adore et enfin donc ton histoire prouve qu'il n'a pas fantasmé sur du vide!!
    Trust? Rien à dire, je ne les ai pas vécu comme beaucoup d'entre vous et j'aime leurs albums.

    RépondreSupprimer
  8. La liste des trucs auxquels je suis allergique est vraiment longue... deux d'un coup!... pourtant le escapology est presque écoutable... Évidemment, le souvenir qui y est attaché change tout... je ne peux qu'imaginer...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est marrant ces allergies... J'en ai moi-même quelques unes (plus des indifférences que des allergies d'ailleurs) mais les tiennes me semblent particulièrement carabinées... Il est temps de consulter un spécialiste ! ;-)

      Supprimer
    2. Ces allergies sont le symptôme du temps qui passe et de la nécessité de faire des choix quitte à passer à côté de très bons disques... impossible de rester indifférent à Trust ou Robbie mais inutile de disserter sur les raisons pour lesquelles je ne supporte pas puisque ce sont des raisons idiosyncrasiques... Seulement je trouve bizarre de trouver le Robbie sirupeux et pas le dernier Olafur Arnalds For Now I am Winter...
      Les disques que j'adore et ceux que je déteste s'accumulent d'un côté comme de l'autre... un spécialiste ne me permettra pas de trouver plus de temps pour tout écouter et tout ré-ecouter à l'envie.

      Supprimer
    3. il est vrai qu'il n'y a pas de temps à perdre avec tout ce qu'il y a à écouter donc pas de temps à perdre avec des albums qui, à priori, ne sont pas dans nos cordes... Mais bon, ma curiosité prend souvent le dessus, quelque soit le genre, surtout si la recommandation vient de quelqu'un dont j'estime les gouts suffisamment proches des miens... Comme le Louis Armstrong publié sur le Club des Mangeurs de Disques hier qui m'est "tombé de l'oreille" à peine entamé.

      Supprimer
    4. Oui mais c'est précisément ce qui m'étonne chez toi, c'est que tu arrives à concilier des choses qui sont pour moi, à priori, inconciliables... (Zorn et Robbie ou bien le punk et le heavy métal...par exemple) et comme pour moi il n'y a pas "le bon gout" d'un côté et le mauvais de l'autre ça reste pour moi problématique, irraisonnable et finalement incompréhensible. Ceci dit le dernier Black Sabbath 13 s'écoute plutôt bien...

      Supprimer
    5. Ce n'est pas pour rien que j'avais choisi Mr Moods comme pseudo. Je suis avant tout drivé par mes émotions, la palette étant large, il me semble normal que le spectre musical le soit aussi. Pour le coup, c'est toi que je ne comprends pas sauf à penser que tu fais partie de ces gens qui se nient certains plaisirs pour des raisons qui, outre de pouvoir pérorer que moi môssieur je n'écoute pas untel ou untel, m'échappent autant que mon comportement pour toi...
      Comme quoi on peut avoir un solide tronc commun et malgré tout une perception toute autre de la musique. ;-)

      Supprimer
    6. Oui mais justement je trouve fantastique que tu ne sois pas trop sensible à la hype autour des disques... Et ça m'agace un peu d'y être autant sensible... même si je vivais dans une ile déserte, j'y serais quand même sensible, ça s'appelle, je crois, du "dressage neuronal" ce qui fait que l'on trouve certaines choses belles et d'autres laides... il est très difficile et douloureux de lutter contre...
      La solution que j'avais trouvé c'était d'écouter de la musique en solitaire et en aveugle... loin de toutes considérations de ce qui est hype ou non mais Je m'aperçois que ce n'est pas suffisant et que je ne suis pas aussi sociables que j'aimerais l'être...

      Supprimer
    7. A moins avis la sociabilité n'a rien à voir là dedans... Après, nous avons tous nos vécus, la somme de nos expériences qui nous ont menés où nous sommes avec l'appétit qui est le notre, la curiosité qui va avec, etc...
      La hype ? Je vis pour ainsi dire dans une grotte... Quand j'écoute la radio (rarement, au boulot) j'opte pour France Culture, FIP ou TSF, pas franchement le royaume de la hype. J'ai abandonné la presse musicale il y a une bonne dizaine d'années, je ne regarde que très rarement la télévision et jamais la télé commerciale, bref, coupé du petit monde qui buzz à qui mieux-mieux, je fais ma petite route qui vit des rencontres que je fais sur la toile ou dans la "vraie vie", et ça donne Robbie Williams et Trust comme madeleines mais ça aurait aussi bien pu être la petite musique de nuit de Mozart (mon premier coup de foudre musical) ou Gimel de l'Acoustic Masada (ma rencontre avec Zorn, marquant !)... Voilà, je suis un animal bizarre qui sait ce qu'il aime "à l'instinct" et n'essaye surtout pas d'intellectualiser sa perspective de l'art musical.

      Supprimer
    8. La sociabilité c'est ce qui fait qu'on est curieux de l'avis des autres... mais quand les avis divergent j'ai beaucoup de mal à arrondir les angles... Si j'allais à une soirée ou Robbie serait considéré comme hype je ne pourrais pas rester plus de 5 minutes... intellectualiser les choses pour se raisonner serait une solution mais j'en suis incapable... Il vaudrait mieux être indifférent mais je n'y arrive pas non plus... L'instinct me commanderait plutôt de fuir...

      Supprimer
  9. Je ne suis pas très tenté par le Robbie, mais j'ai bien goûté ton histoire. Le Trust, j'adore l'écouter quand je passe l'aspiro, ça me donne le bon tonus!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Je comprends, l'image de Robbie et tout ça... C'est un peu plébéien tout ça... ;-)

      Supprimer
  10. J'écoute Trust quand je me rase le matin, en me disant que je ferais un bon président de la république !!!!!
    Je vais prendre aussi Robbie, parce que la présentation est belle. Sinon, "carré blanc" c'est bien joli, mais tu pourrais au moins nous donner quelques détails... une vidéo, peut-être ?????
    Tu ne m'avais jamais parlé de cette Japonaise... cela remet en cause notre mariage !!!!!

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Commence pas, tu n'es pas fidèle de toute façon.

      Supprimer
    2. Ey ! Viens pas foutre la merde dans notre couple, toi !!!!!
      8-P

      Supprimer
    3. Merci Miss Rouge.

      Tu vois comment sont les mâles... Ils peuvent être infidèles mais ne le supportent pas de leur compagne(ou compagnon).

      Ben moi je fais ce que je veux, na ! ^_^

      Supprimer
  11. Moi non plus Robbie Williams ça ne me parle pas. Trsut j'ai le premier en vinyl...peut-être que je le numériserai pour "mémoires de vinyl" mais je ne l'ai pas trop écouté...

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Dommage pour Robbie. En vérité, je me doutais que j'aurais ce genre de réaction. C'est inévitable quand on plonge dans le mainstream.

      Supprimer
  12. Hello.
    Je savais pas que t'étais japonaise Zorna !
    Ah non merde, j'avais pas tout lu y a aussi le Trust.
    C'est marrant j'écoute pas leurs disques mais j'aime bien à la fois Bernie et Robbie (joli nom pour un duo).
    Et jolie histoire aussi, sachant que Keith lui nous aurait raconté la suite...
    EWG

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. C'est sûr... et avec des détails en plus !!!!!

      Supprimer
    2. Oui mais je ne suis pas Keith. Déjà, ce genre de sujet, si j'ai totalement joué le jeu, n'est pas dans les cordes habituelles de mon instrument critique... Du coup, il ne faut pas trop m'en demander, surtout dans le détail croustillant (j'en ai !)... Et puis, Keith fait ça si bien ! ^_^

      Supprimer
  13. Je vois en effet que nous avons vécu là-bas des expériences un peu voisines. La mienne a duré plusieurs années.

    RépondreSupprimer
    Réponses
    1. Presque deux ans avec quelques décrochages métropolitains. Une expérience irremplaçable !

      Supprimer