"It's just a reflektor."
Deux pochettes d'albums qui se ressemblent comme deux gouttes d'eau. Coïncidence?...
Non, ce n'est pas une coïncidence, elle serait un peu grosse, c'est bel et bien d'un hommage dont il s'agit mais aussi de l'occasion de revenir sur un groupe marquant à son sommet et sur un side-project un peu accessoire mais néanmoins sympathique. Ready? Steady? Go !
L'ORIGINAL:
Roxy Music "Country Life" (1974)
ou "So much Art in the Glam"
Roxy Music, Country Life. Bien sûr, il y a la pochette controversée et, dans certains pays, censurée, elle n'est pourtant pas plus choquante que la majorité des pubs de sous-vêtements régulièrement affichées dans les abribus ou qu'un paquet de spots pour yaourt où il semble toujours devoir y avoir une demoiselle en tenue légère dégustant goulument la claire et crémeuse substance (...n'est-ce pas ?!) Il y a surtout la musique du second album du groupe de Glam Prog sans Eno, parti sans laisser d'adresse.
Glam Prog donc. Drôle d'alliance vous me direz et vous n'aurez pas tout à fait tort. Eno parti, Ferry, Manzanera & Co se laissent aller à leurs élans naturels et glamourisent l'art rock originel du combo. C'était déjà le cas sur leur précédent, Stranded, mais le fruit n'en était pas encore arrivé à maturation. C'est, cette fois, chose faite avec, qui plus est, une sélection de chansons assez implacable dans son genre.
Ca commence par The Thrill of It All où on a l'impression de retrouver Ziggy et ses Spiders from Mars passés au philtre soul d'un Phil Spector. Ca continue avec le cabaret pop de Three and Nine, le rock presque frontal de All I Want Is You, le glam rock emphatique d'Out of the Blue, le rock blues fiftisant d'If It Takes All Night, l'arty et schizophrène Bitter-Sweet et son teuton décrochage Weilien, et le reste !, bref, aucun faux pas même si j'aime un poil moins le dernier titre, Prairie Rose qui fait à mon avis un peu trop figure d'un All I Want Is You sans en avoir le souffle, un tout petit coup de mou en fin de course, ça arrive.
Donc, sur Country Life, il y a de la variété, de l'art dans la manière aussi parce que Phil Manzanera est un guitariste rare, discret mais, à l'écoute attentive, précieux et omniprésent enluminant de moult licks, riffs et soli cette musique à la fois prospective et efficace. Il y a aussi Edwin Jobson qui, aux claviers et aux cordes, habille les climats, enrichit les ambiances de ses trouvailles mélodiques et formelles. Il y a, bien sûr, Bryan Ferry, vocaliste au spectre limité mais à la théâtralité et la faconde mélodique joliment développées. Et on n'oubliera pas les autres, Andy Mackay au hautbois et au saxophone, John Gustafson et Phil Thompson, respectivement bassiste et batteur du présent exercice parce que tous, TOUS !, font un excellent boulot et contribuent à la superbe d'une galette suprêmement inspirée, bénie des dieux.
Et puis la production est bonne, un petit peu étriquée, serrée, on aimerait plus de largeur pour mettre encore mieux en valeur la portée épique des compositions. Assumée conjointement par le groupe et John Punter (qui collaborera régulièrement avec Slade au début des 80s) elle est typique de son époque et des méthodes d'alors où il n'y avait pas de temps à perdre mais des artisans talentueux tout de même. Donc, fondamentalement, rien à dire, ça sonne comme ça (même si ça aurait pu, donc, sonner encore mieux).
Pour beaucoup, la période la plus intouchable, celle approchant la perfection de Roxy Music est celle avec Brian Eno, une assertion devant laquelle je m'inscris en faux parce que, si les deux albums de l'ère en question sont en effet de belle qualité et ne sauraient en aucun cas être démis d'un revers de main, c'est la période qui suit, et plus particulièrement ce Country Life en état de grâce, compromis réussi de recherche musicale et d'efficacité compositionnelle, qui constitue leur plus belle réussite. Essentiel, donc. Eternel, aussi. Immanquable !
Ca commence par The Thrill of It All où on a l'impression de retrouver Ziggy et ses Spiders from Mars passés au philtre soul d'un Phil Spector. Ca continue avec le cabaret pop de Three and Nine, le rock presque frontal de All I Want Is You, le glam rock emphatique d'Out of the Blue, le rock blues fiftisant d'If It Takes All Night, l'arty et schizophrène Bitter-Sweet et son teuton décrochage Weilien, et le reste !, bref, aucun faux pas même si j'aime un poil moins le dernier titre, Prairie Rose qui fait à mon avis un peu trop figure d'un All I Want Is You sans en avoir le souffle, un tout petit coup de mou en fin de course, ça arrive.
Donc, sur Country Life, il y a de la variété, de l'art dans la manière aussi parce que Phil Manzanera est un guitariste rare, discret mais, à l'écoute attentive, précieux et omniprésent enluminant de moult licks, riffs et soli cette musique à la fois prospective et efficace. Il y a aussi Edwin Jobson qui, aux claviers et aux cordes, habille les climats, enrichit les ambiances de ses trouvailles mélodiques et formelles. Il y a, bien sûr, Bryan Ferry, vocaliste au spectre limité mais à la théâtralité et la faconde mélodique joliment développées. Et on n'oubliera pas les autres, Andy Mackay au hautbois et au saxophone, John Gustafson et Phil Thompson, respectivement bassiste et batteur du présent exercice parce que tous, TOUS !, font un excellent boulot et contribuent à la superbe d'une galette suprêmement inspirée, bénie des dieux.
Et puis la production est bonne, un petit peu étriquée, serrée, on aimerait plus de largeur pour mettre encore mieux en valeur la portée épique des compositions. Assumée conjointement par le groupe et John Punter (qui collaborera régulièrement avec Slade au début des 80s) elle est typique de son époque et des méthodes d'alors où il n'y avait pas de temps à perdre mais des artisans talentueux tout de même. Donc, fondamentalement, rien à dire, ça sonne comme ça (même si ça aurait pu, donc, sonner encore mieux).
Pour beaucoup, la période la plus intouchable, celle approchant la perfection de Roxy Music est celle avec Brian Eno, une assertion devant laquelle je m'inscris en faux parce que, si les deux albums de l'ère en question sont en effet de belle qualité et ne sauraient en aucun cas être démis d'un revers de main, c'est la période qui suit, et plus particulièrement ce Country Life en état de grâce, compromis réussi de recherche musicale et d'efficacité compositionnelle, qui constitue leur plus belle réussite. Essentiel, donc. Eternel, aussi. Immanquable !
1. The Thrill of It All 6:24
2. Three and Nine 4:04
3. All I Want Is You 2:53
4. Out of the Blue 4:46
5. If It Takes All Night 3:12
6. Bitter-Sweet 4:50
7. Triptych 3:09
8. Casanova 3:27
9. A Really Good Time 3:45
10. Prairie Rose 5:12
Bryan Ferry – vocals, keyboards, harmonica
John Gustafson – bass
Edwin Jobson – strings, synthesiser, keyboards
Andrew Mackay – oboe, saxophone
Phil Manzanera – guitar
Paul Thompson – drums
LA "COPIE":
Sweet Apple "Love & Desperation" (2010)
ou "Rockin' apple"
Si la pochette est un évident hommage au Country Life de Roxy Music, la musique de ce side-project comprenant le Dinosaur Jr. en chef, J Mascis, n'a pas grand chose à voir avec le tour de force Art Glam de Ferry & Co
Comprenant J Mascis, de Sweet Apple, ce n'est pas lui le leader, la tâche incombant à John Petkovic connu, dans l'underground, pour sa participation à deux formations de qualité, Cobra Verde et Death of Samantha).
Musicalement, c'est de bon gros rock bien gras dont il s'agit, avec des riffs un poil sudistes, des rythmes lourds mais entraînants, des vocaux mâles et pas affectés pour deux sous, du bon boulot qu'on s'imagine bien écouter en roulant sur une highway poussiéreuse en dodelinant joyeusement du chef. Ben oui, quoi, Sweet Apple ne se complique pas la tâche, pratique les choses simples pour un bonheur qui l'est autant.
Evidemment, comme on est tout de même chez Tee Pee Records (maison des excellentissimes Ancestors), c'est le versant musclé, (light) stoner-compatible, de la chose qui est exposé ici avec tout de même quelques jolis apaisements. En effeuillant le catalogue, on remarquera Do You Remember qui rappellera les exactions électriques des sympathiques Foo Fighters, Flying Up a Mountain et ses atours Hendrixiens pas désagréables, It's Over Now qui est une jolie power ballad bluesy à l'ancienne, Somebody Else's Problems recyclant sans vergogne les Rolling Stones du début des 70s... Dérivatif ? Certes mais bien troussé. Et il y a même de vraies surprises comme un Dead Moon planant, entre Eels et feu-Grandaddy ou Hold Me I'm Dying, un shuffle-rocker vraiment très réussi et réellement entraînant.
Et tout ça tient en 39 petites minutes, sans vrai temps mort, sans grosse faute de gout... Mais avec, reconnaissons-le, un enthousiasme généralement modéré, sauf pour les deux hightlights précités.
Evidemment, ceux qui auront approché l'album à cause de sa pochette devront faire preuve d'ouverture d'esprit pour gouter ce rock'n'roll costaud. On est très loin des élans de génie de Country Life et du style de Roxy Music, aussi. Reste que ce premier Sweet Apple, un nouveau est en préparation, s'ingère facilement et, s'il ne laisse que peu de traces (mais des belles !), il ne laisse pas non plus de mauvais souvenir. Un bon album, donc, à défaut de plus, en attendant la suite.
Musicalement, c'est de bon gros rock bien gras dont il s'agit, avec des riffs un poil sudistes, des rythmes lourds mais entraînants, des vocaux mâles et pas affectés pour deux sous, du bon boulot qu'on s'imagine bien écouter en roulant sur une highway poussiéreuse en dodelinant joyeusement du chef. Ben oui, quoi, Sweet Apple ne se complique pas la tâche, pratique les choses simples pour un bonheur qui l'est autant.
Evidemment, comme on est tout de même chez Tee Pee Records (maison des excellentissimes Ancestors), c'est le versant musclé, (light) stoner-compatible, de la chose qui est exposé ici avec tout de même quelques jolis apaisements. En effeuillant le catalogue, on remarquera Do You Remember qui rappellera les exactions électriques des sympathiques Foo Fighters, Flying Up a Mountain et ses atours Hendrixiens pas désagréables, It's Over Now qui est une jolie power ballad bluesy à l'ancienne, Somebody Else's Problems recyclant sans vergogne les Rolling Stones du début des 70s... Dérivatif ? Certes mais bien troussé. Et il y a même de vraies surprises comme un Dead Moon planant, entre Eels et feu-Grandaddy ou Hold Me I'm Dying, un shuffle-rocker vraiment très réussi et réellement entraînant.
Et tout ça tient en 39 petites minutes, sans vrai temps mort, sans grosse faute de gout... Mais avec, reconnaissons-le, un enthousiasme généralement modéré, sauf pour les deux hightlights précités.
Evidemment, ceux qui auront approché l'album à cause de sa pochette devront faire preuve d'ouverture d'esprit pour gouter ce rock'n'roll costaud. On est très loin des élans de génie de Country Life et du style de Roxy Music, aussi. Reste que ce premier Sweet Apple, un nouveau est en préparation, s'ingère facilement et, s'il ne laisse que peu de traces (mais des belles !), il ne laisse pas non plus de mauvais souvenir. Un bon album, donc, à défaut de plus, en attendant la suite.
1. Do You Remember 3:29
2. I've Got A Feeling (That Won't Change) 2:30
3. Flying Up A Mountain 3:36
4. It's Over Now 2:47
5. Can't See You 3:08
6. Hold Me, I'm Dying 3:09
7. Blindfold 3:31
8. Somebody Else's Problem 3:17
9. Dead Moon 2:36
10. Crawling Over Bodies 4:11
11. Never Came 3:40
12. Goodnight 3:22
(pas d'autres extraits studio sur YT)
John Petkovic - Guitar, Percussion, Synthesizer, Vocals
J Mascis - Drums, Guitar, Vocals
Tim Parnin - Guitar, Percussion, Vocals
Michael Seifert - Bass, Drums, Guitar, Percussion, Piano, Synthesizer
Dave Sweetapple - Bass, Percussion, Vocals
Chuck Mosley - Handclapping
Ça continue dans l'ambiance torride !!!!!
RépondreSupprimerC'est le jeu des 7 erreurs ???
Je savais que ça te plairait ! ;-)
SupprimerCôté musique, je pense que le Sweet Apple est dans tes cordes, le Roxy, tu le connais déjà probablement.
Fallait trouver.... Bravo!
RépondreSupprimerMerci.
Supprimer1 : Glam-Prog ? Ah merde, moi j'avais le souvenir ému (très ému, j'avais 13 ans) de la pochette et de ce disque usé jusqu'à la corde et tu ne me le gâcheras pas ! L'absence d'Eno ne peut pas être un problème.
RépondreSupprimer2 : Eels et enthousiasme modéré la tournure est oxymoronique ... Mais si t'es pas emballé je sais pas si je vais tenter. Pâle copie la pochette, très pâle.
Mais bien joué !
L'enthousiasme modéré n'est pas pour le morceau m'ayant rappelé Eels, je te signale.
SupprimerEt oui, glam prog, ne vous en déplaise, très cher ! :-p
Ben quoi ? Y a du glam et de la prog et parfois en même temps, donc Glam Prog, je m'y tiens.
SupprimerGlam-Prog-Zorn, là oui.
SupprimerZorn n'a jamais fait de glam, hélas. J'aimerais bien. ^_^
SupprimerMais Roxy, je maintiens en précisant que, pour moi, Bowie était glam aussi, à cette période. Faut pas déconner, le glam ce n'est pas que Gary Glitter, Sweet, Slade et T Rex.
Ah la la, faut tout t'expliquer : dans Glam-Prog-Zorn c'est toi Zorn, on vient de t'accorder le brevet ...
Supprimer(Sur Glam on est d'accord, c'est sur Prog ...)
T'entends pas le prog, sérieux ? C'était encore plus évident avec Eno mais il reste de sacrées traces.
SupprimerJe ne connaissais pas Sweet Apple... quant à Roxy Music, c'est à "For your pleasure" (décidément...) qui a ma préférence. Mais je suis d'accord que Roxy après Eno est resté Roxy... pour notre plus grand plaisir.
RépondreSupprimerEntendons-nous bien, les deux Roxy avec Eno sont excellents, mais les deux suivants sont encore ceux que je préfère, en particulier celui-ci
SupprimerJe ne connaissais pas Sweet Apple non plus, mais j'accroche bien. Roxy Music, faut vraiment que je m'y mette, putain...
RépondreSupprimerHa oui !
SupprimerMoi-même, je m'y suis mis sur le tard parce que je ne connaissais que quelques tubes de leur fin de carrière que je n'aimais pas. Mais avant, ha, avant, quel groupe !!!
Sweet Apple, pas un grand album mais parfait pour les amateurs de bon rock.
C'est parce que tu es snob mais pas trop que tu arrives à apprécier certains Roxy Music après Eno ! :-p
RépondreSupprimerNon non, moi aussi j'suis snob.
RépondreSupprimerCa n'a rien à voir avec l'aut' là ...
J'aime aussi le glam pour en voir un peu partout .. découverte donc pour le deuxième qui présente deux beaux arguments. Roxy, je suis né avec, pas mon préféré celui là, mais j'écoute avec plaisir et nostalgie.
RépondreSupprimerJ'attends ton retour sur Sweet Apple, alors.
SupprimerEnjoie !
J'suis snob... J'suis snob
RépondreSupprimerC'est vraiment l'seul défaut que j'gobe
Ça demande des mois d'turbin
C'est une vie de galérien
Mais lorsque je sors à son bras
Je suis fier du résultat
J'suis snob... Foutrement snob
Tous mes amis le sont
On est snobs et c'est bon
Moi j'aime bien les pommes. Surtout en forme de poires, c'est mon côté snob à moi.
RépondreSupprimerMais je ne vois pas de ressemblance entre ses deux pochettes, la végétation est complètement différente.
Encore un plantophile ! >_<
SupprimerTrès bon ce petit Sweet Apple. Ça déménage juste ce qu'il faut
RépondreSupprimerJe savais que les poètes apprécieraient ! ;-)
SupprimerT'as chopé ça où ?? je parle de la deuxième ??!! terrible. Impec.
RépondreSupprimerY'a un gros historique sur celle de Roxy et ses tops.. j'addooorre les pochettes de Roxy
Même Avalon ? ;)
SupprimerSweet Apple, me souviens plus où je l'avais trouvé ni pourquoi je l'avais gardé vu mon peu d'enthousiasme pour la chose, pas que ce soit mauvais, juste un peu... commun.
Ce n'est pourtant pas le meilleur des deux... Mais tente donc ce que tu veux et merci de ton passage.
RépondreSupprimerBien vu ! Je ne connaissais le Sweet Apple que de pochette, m'en vais écouter ça.
RépondreSupprimerLe Roxy est excellent, comme tout Roxy de leur 1er à "Siren", plus "Avalon".
Je suis plus mitigé sur Avalon qui est quand même du Bryan Ferry with Roxy Music, non ?
SupprimerTu me diras pour le Sweet Apple.
Un peu, certes. J'entends surtout un disque des années 80, avec tout ce que ça comporte, niveau son, mais avec des morceaux diablement bien construits. La composition est vraiment à la hauteur de la réputation de Roxy Music. Ferry, ou le groupe, ou les deux, tissent leur toile au fur et à mesure de l'avancée des morceaux, et on se fait piéger dans ces chansons, de façon assez implacable.
SupprimerGuidés par la voix de Ferry, il est vrai, mais aussi par l'ossature des morceaux, et le son "papier glacé".
Je sais pas si tu as vu mais le Roxy est de 1974, longtemps avant les 80s. ;-) Et d'ailleurs, bien de son époque si, quelque part, avant-gardiste, à mon avis.
SupprimerAh j'y ai pensé à ces deux albums! Contente de les retrouver dans ce thème!
RépondreSupprimerC'était ça ou deux pochettes d'Iron Maiden ! ;-)
SupprimerJe venais parler de "The Thrill Of It All" ce titre à mon gout a réussi le tour de force de combiner le croone, le rock fulgurant à grosse frappe et des élans de pop sucrés de suite rattrapé par la guitare en éclair, ce titre me file toujours autant une pêche d'enfer. À écouter fort fort fort
RépondreSupprimerJoli !
SupprimerGlam Prog? J'approuve, il suffit d'entendre ce que le live "Viva" a fait d'un titre comme "If There Is Something" qui se termine comme un "Musical Box" de Genesis.
RépondreSupprimerPour le GLAM, j'imagien dans le sens GLAMOUR dans le sens CROONER corrompu par la musique POPulaire, quand le prolétaire louche vers le classieux.
Vive ROXY
C'est ça. En gros le même glam que Bowie mais un poil moins trash.
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